Bois un cou ça iras mieux [pv: Salmery]

Je crois ce matin quand je me suis réveillé j’avais énormément faim, je dis ça parce que me voilà à eu heure très matinale que je mange comme si je mourais de fin, je crois bien que c’est à cause d’hier qui est encore une soir trouble mais, que j’en ai les séquelles avec quelques bleu par ci par là, ce qui explique certaine chute et de combat sans aucun doute car, voilà que mon œil droit était entourée d’une masse violacée jaune et bleu camouflant alors, les légères jaunes des anciens bleu que mon père m’avait laissé comme présent parfois, je croyais le voir sur le bateau et j’en avais la peur au ventre, vous me comprenez après tout? Même si j’ai dix-neuf ans et que je n’ai pus jamais partir tout à fait de chez moi car, j’avais peur pour ma mère qu’il la batte aussi moi, ca me faisait rein en tout cas je préférais qu’il me frappe moi qu’elle, elle état fragile et s’il la frappait parfois aussi fort qu’il me frappe moi, elle serait morte sur le coup et je n’aurais plus de parents. Une libération? Non je ne crois pas, car ‘j’aurais sur moi tout la responsabilité de ma vie et je n’aurais plus de vrai chez moi car, au rythme où je vie ma maison actuelle ressemblerait à un dépotoir au final, je crois que c’est pour ça que je ne me suis jamais barré réellement de chez moi, car j’aimais retrouvé quelques chose qui m’appartenais vraiment ou j’ai vécus de bonnes choses, même si j’avais un père qui me bats quand ça l’enchantait et une mère faible et fragile, malade sans doute, elle va crever un jour dans un coin et je crois que je serais obligé de quitté mon chez moi et ce ma ferait mal car, je n’aurais plus d’endroit où aller. Je crois que je pourrais pas m’entretenir tout seul, la preuve même depuis le séjour de ce bateau voilà, que je bourre et défonce la gue**e à tel point d’en perdre la mémoire, que j’ai des absences en pleins milieux de la journée…
Et je ne peux plus m’arrêter, ma cabine ressemble à rien, j’aurais du avoir un colocataire franchement, il ce serait occuper de moi, j’ai tant besoin d’une personne qui s’occupe de moi et plus je pense et plus je mange, je crois que je mange à en vomir, je peux plus m’arrêter.
Je sens de nombreux regard sur moi car, je crois bien que ca fait une heure que je mange non-stop, proprement comme à la manière des petits bourgeois mais, je me goinfre, la serveuse n’ose plus venir vers moi, elle me regarde gêné et s’approche discrètement de moi, d’une voie fluette et à peine audible à mes oreilles car je suis ailleurs je lui demande l’addition car, une étrange nausée et je savais que si je prenais une bouchée de plus de cet infâme dessert, j’allais déglutir tout devant tout le monde, elle me donna l’indiction dont je ne préférais pas regarder et le prix, je venais de tout payer et de sortir de cet endroit. La bouffée d’air froid me fouettait le visage, et ça venait de me faire terriblement du bien.
Engouffrant mes mains dans les poches de mon jean, et mes doigts de ma main droite venaient tout juste de rentrée au contact d’un objet rectangulaire et d’un léger mouvement je venais d’ouvrir le paquet et de tirer une cigarette et de me l’allumer avec mon briquet qui était dans mon autre pocher.
Laissant glisser de mon crâne mes ray-ban sur mon nez pour cacher l’horripilait de mon bleu profondément marqué sur mon visage, le soleil se couchait déjà enfin de compte je n’avais pas ouvert les yeux si tôt que j’avais cru, pour le constater je venir d’apporter mon poignet où ma rolex y était attachée mais, jugeant ce geste inutile je venais de remettre ma main dans ma poche et m’appuyer contre les rambarde du bateau regardant droit devant moi car, si je baisais le regard je risquais de me sentir bien plus mal qu’à cet instant, ce n’était pas trop moi de rester comme ça à ne rien faire alors, je venais tout juste de me tourner, posant mes coude sur la rambarde ainsi que mon dos que s’y appuyait, j’observais les gens, leur créant une petite histoire selon leurs expressions et démarcha, ça m’occupais et j’embêtais personne an agissant ainsi et le deuxième point positif c’est que je remarquais les différents passagers qui pourraient m’intéressé.
Puis, comme par magie mon regard venait de suivre une petite brunette qui me disait quelques choses, et je venais savoir tout de suite pourquoi. Je crois avoir le défaut de coucher avec toutes personnes qui m’attire et en particulier cette petite brunette était dans mon champs de tire, dès qu’elle posa son regard dans la direction où j’étais je faisais simplement mine de fumer, ce qui était crédible puisqu’elle continua sa route.
A vrai dire je l’ai suivie un peu discrètement après avoir jeter clope à la mer, pas très écolo je sais mais, je n’allais pas le laisser dans ma poche. Je vais de l’observer un petit instant et dès que j’avais écouter une de ses discussions avec ses amies, je venais tout juste de me diriger vers l’endroit où elle allait y aller dans une petite heure.
Et c’est au bar, mon premier endroit préféré avec le casino qui a tout de même un bon atout puisqu’il y a l’alcool et les jeux et j’adores les jeux et limite à dépenser tout mon fric quoique je suis bon joueur je m’étonne moi-même que je me rappel des techniques de mon grand-père qui m’avait enseigner.
C’est ainsi que je me trouvais assis au bar avec un verre d’un whisky-soda à la main je vais d’entamer mon troisième verts au début j’avais pris simplement du whisky puis, j’ai décider que le troisième serait différent car je savais qu’elle allait arrivée. Fou? Moi non simplement que je voulais m’amuser et me détendre, en plus vous savez elle à l’air de bien apprécier quand je la drague.
Elle était là seule à mon grand étonnement et elle s’était assise sur un siège avec un triste mine, avant de la rejoindre je venais de finir le restant de mon verre d’un coup sec. Je venais d’aplatir ma main sur le comptoir et avec un léger sourire afficher aux lèvres.

D; - « La même chose mais, j’offre un verre à la demoiselle. »

Lui laissant un léger regard je venais de croise mes bras et de pencher légèrement ma tête sur le côté pour voir son jolie visage cacher par sa chevelure brune.

D; - « Cette petite mine ne me dis rien qui vaille. Tu es tellement plus jolie quand tu souris. »

Et je ne pu prononcer son prénom ne le connaissant pas, je réfléchissais un instant et depuis tout le temps que je lui faisais du charme, je ne lui avait jamais demander son nom, je lui donnais toujours des surnoms. Prenant mon verre en main auquel je venais de piquée une bonne gorgée.

D; - « Bois un peu ça te feras du bien tu verras sinon j’ai un tout autre remède tu veux le connaitre? »

Je m’étais levé tard ce matin, je n’avais pas du tout envie de me lever. J’avais surtout pas envie de me lever et de faire, je ne sais pas quoi sur ce bateau. Un ra bol ou tout simplement envie de me changer d’air un peu. Je me levai après quelque minute, puis alla directement à la douche. Je pris ma douche, puis après m’habillai. Je m’étais mis une simple tunique avec leggins et comme d’habitude mes cheveux bouclé, mais pour une fois, je décidai de ne pas vraiment me maquillait, je n’allais vraiment pas bien car sinon je n’aurais jamais sorti comme ça. Puis comme à mon habitude, j’alla regardé la vue sur le pont, puis après je décidai de faire un tour en ville, je me promenais pendant quelque heure, il n’y avait rien à faire, puis je décidai de revenir au bateau, je vis des amis au loin, donc je me mis à discuter avec eux puis après, je me dirigea vers le bar, ce n’étais pas dans mes habitudes, pourtant, je m’assis, mais je pris aucun verre, fallait que je réfléchis, si je prends un verre ou pas, car des que je bois, je ne suis plus du tout la même, quand on dit que l’alcool fait bien des dégâts, je l’avoue. Puis après quelque minute, je sentis un regard se poser sur moi, je crois bien savoir qui sait, normal car il n’arrête pas de me draguer, je sais ce qu’il veut et à vrai dire, je m’en fou de toute façon, si je bois beaucoup, c’est sur que je me retrouve dans son lit. Puis, il commença à me parler, super, ironique je vous le dis. Il me disait qu’il m’offre un verre, je tournai mon regard vers lui, il m’offre un verre, super surtout je ne savais pas si j’allais boire ou pas. Puis je le regardai me dire après il me dit qu’on dirait que je ne vais pas bien et que sa se voit sur mon visage. Puis, je le regardai et l’écoutais encore parler, il me disait de boire un peu, sa va aller mieux, sinon il me dit qu’il a une autre méthode, je voudrais bien savoir laquelle. Je lui répondis.

« Merci pour le verre, c’est quoi l’autre méthode que tu dis ? Je serais curieuse de savoir, c’est laquelle. «

Je pris le verre, je sais que sais pas bien, mais je m’en fou, je le bois d’une traite et le regardait, oui moi et l’alcool, ce n’est pas très beau a voir. Puis j’attendis de voir ce qui me disait…

T; - « Un autre pour la demoiselle et moi »

T; - « Tu es sure que tu veux vraiment la connaitre? »

T; - « Tu me suis ? »

T; - « Alors, belle demoiselle qu’a tu a afficher une mine aussi triste? »

T; - « Allé fais moi un jolie sourire, tu rendra un instant heureux tous ces gens. »

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