Sujet: C'est les meilleurs fromages qui font les meilleurs personnes [...] 100% Ven 16 Avr - 17:30 | |
| Moi, rien que moi | | | | | | | | | | | � NOM : Davids � PRENOM : James Harry � AGE : 22 ans � SITUATION : Célibataire & Amoureux � GROUPE : Voyageurs
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Caractère Mon personnage est plutôt [ X ] Amusant [ X ] Extravertie [ ] Généreux [ ] Prévoyant [ ] Relax [ X ] Sociable [ ] Perfectionniste [ X ] Tranquille [ X ] Vivant [ ] Arrogant [ ] Brutal [ ] Curieux [ ] Insouciant [ ] Maladroit [ X ] Possessif [ ] Timide [ ] Autre...
Il aime : Pratiquement ce qu'il y a de beau sur cette Terre, qui donne le plaisir et les choses simples aussi. En commençant par bien sûr les femmes. Le grand pêché de l'homme et son principal point faible pratiquement a part pour ceux qui ont su sans abstenir, pas comme moi. Mon deuxième amour le plus fort fut pour les fromages, et le troisième, le soleil, suivi de la Lune. Le sourire d'une femme, le rire de mon frère, tant de choses simples, mais plus précisément j'aime bien tout style de musiques, ma couleur préférée est le blanc, neutre dans tout les cas et synonyme de pureté car mon âme l'y ressemble, enfin je trouve, puis vint pour terminer l'eau, ou l'on se sent s'y léger, ou force ne rime plus avec physique mais avec agilité & réflexion. Mais par-dessus tout il aime la romance.
Il n’aime pas : Tout ce que l'on n'aime pas, je ne vous ferais pas une liste, c'est plutôt les gens que des choses, les personnes elles peuvent évoluer plus rapidement que tout objet, il suffit de bien trouver le mécanisme. Les faux-culs sont les gens les plus souvent a éviter, se cachant parmi nous, nous faisons plaisir et s'éclipsant quand ennui il arrive, bien sûr on le remarque au fil du temps lorsqu'on ne trouve plus d'excuses a inventer pour pardonner un être qui n'en mérite pas une. La trahison, cette fait trahir par l'être dont on avait le plus confiance est terrible, une chose que je hais par-dessus tout. Une dernière chose que je hais par-dessus tout : un camembert Président.
Physique Couleur de peau : [] Très pale [ X ] Blanche [] Mate [] Bronzée [] Noire Couleur des cheveux : [] Blond [ X ] Châtain [] Brun [] Roux Longueur des cheveux : [] Très courts [ X ] Courts [ ] Mi-longs [] Longs Couleur des Yeux : [ X ] Bleu [ ] Marron [] Vert [] Changent de couleurs [] Autre Corpulence : [] Très maigre [ ] Mince [ X ] Bien fichu(e) [] Un peu enveloppé(e) [] Beaucoup enveloppé(e) Taille : [] Moins d'1m60 [ ] Entre 1m60 et 1m70 [ X ] Entre 1m70 et 1m80 [] Plus d'1m80 Je me trouve : [] Moche [] Entre les deux [ ] Bien [ X ] Le plus beau/La plus belle
Histoire Il était une fois.. :
Los Angeles, la ville qui en fait rêver plus d'un dans le monde. La ville des anges, et c'était justement aujourd'hui que deux anges allaient naître. Mon frère & moi naquirent il y a de ça 22 ans dans un hôpital de cette fabuleuse ville. On aurait pu croire que nos parents les collectionnait, ou que mon père était spéciale, et ma mère aussi, on fait des enfants a deux, je le rappelle, et étrangement, eux les avaient eux par deux ! Deux grands sœurs jumelles et deux petits frères jumeaux pour elle. A croire que tout pouvait prévoir un petit carnage entre filles et garçons ou tout simplement dans la maison, 4 enfants et deux parents, le désavantage était certain, les nuits blanches aussi pour nourrir l'un, puis l'autre. Mais nos parents réussirent cela avec brio, deux enfants aussi beaux que nous ne pouvaient être que gentil, et nous jouais contre nous, étant jumeaux, comme nos grandes sœurs que nous semblions prendre pour exemple. Nous étions des gars et les gars ne jouais pas a prendre le thé ou a la poupée Barbie, nous on jouait avec des jeux de gars, comme les circuits électriques ou encore au baseball, ouais on était comme ça nous, on s'entrainait surement a être de futurs athlète ou tout simplement a s'amuser en attendant que le temps passe, les cours n'étant pas stimulant, nous devions attendre le collège et le lycée qui nous stimulerait véritablement dans le choix de nos futurs vies. Et pendant ce temps-là on jouait au baseball.. .
Quelques années plus tard les enfants devinrent des.. :
Adolescent pleins de boutons ? Non, nous étions comme nous étions bébés, parfait, mon frère et moi étions parfait, sans nous vanter. Un regard océanique qui ne faisait qu'accentuer ma passion pour l'eau. Le lycée était a présent a notre portée, les filles, le sport a un tout autre niveau. Tout était fascinant et doucement les choses qui nous étaient chers petits devenaient banales, le sexe, la drogue, l'alcool, c'est ce que l'on rencontre principalement dans les années lycée, bien sûr tout est tellement enivrant mais pure comme j'étais je en touchais pas a ça. Mon frère était plus sportif que moi, j'entendais par là qu'il s'impliquait juste jusqu'à devenir comme le principal, faisant régner sa loi. Je le comprenais, le pouvoir était enivrant, la jalousie des autres peut devenir un danger, et c'était ce qui se passa, il se retrouva au plus bas de l'échelle sociale le jour suivant. Moi ? Je préférais ne pas m'impliquer, plus discret, plus timide, j'aimais ce que j'étais. Je pouvais facilement avoir ce que mon frère avait eu mais je préférais rester a une place que je m'étais désigné, une place me protégeant de tous et m'acceptant de tous. Je ne dis pas que j'étais un ange, enfin presque, les conneries d'ado sont toujours à faite sis on aime la vie pour ce qu'elle apporte et non pour ceux qu'elle nous fait subir. Mon frère remontait doucement la pente et tout était bien, bien sûr, la vie n'est pas aussi belle qu'elle peut le montrer, il y a aussi les mauvais côtés. Une dispute, violente, entre mon frère & moi contre nos sœurs et nos parents qui se résulta a notre départ du foyer familial, nous décampions loin de pour nous réfugier a 30 kilomètres d'eux dans notre nouveau foyer jusqu'à côté de notre université. Puis il y eut Elle. Juliet, cette fille avait tout en elle qui me faisait craquer, son regard transcendent qui me transperçait le cœur sans penser par la case raison de mon cerveau, j'aurais du le voir mais j'étais tellement sot & jeune. Bien sûr, j'en était tombé amoureux, ces boucles blondes, je ne pouvais y résister et comme tout jeune se sentant en confiance et étant amoureux je lui demandais de passer a un autre stade ensemble, ce qui bien sûr ce révéla comme un refus, j'aurais du y voir clair qu'une fille comme elle ne sortait pas sérieusement avec des garçons, ce n'était pas un problème de physique, ou autre chose, mais plutôt qu'elle avait une façon de vivre qui n'était pas comme la mienne, au fond nous étions de personnes différentes. Le temps passait et mon cœur souffrait, c'était un amour que juste le temps pouvait effacer ou rendre encore plus tenace. Au début, je n'avais pas compris que j'étais sérieusement amoureux d'elle et que cet amour me rendrait fou, la souffrance que je ressentais, je ne savais pas que j'allais ressentir encore plus fort dans quelques années. Mais pourquoi voir dans des années alors que pire approche ? L'alcool fait des ravages et le montre dignement en faisant coucher Juliet et mon frère ensemble, tout cela, mon propre frère me le dit de sa bouche, je ne savais pas que je pouvais souffrir autant pour une chose aussi banale qu'une fille mais je souffrais. Je ne leur ai jamais pardonné, j'ai rompu tout contact avec eux, j'essayais de l'oublier et ça marchait, lentement, le temps faisait effet. Tandis qu'a mon frère, je ne pouvais lui en vouloir éternellement, c'était mon jumeau, nous étions liés par bien plus que le sang. Doucement je recommençais a lui parler, mais cela allait se faire lentement.
Finalement, c'est ça d'être grands.. :
Une croisière, pourquoi pas un moyen de tout remettre a zéro, tombé sur la bonne fille cette fois, mais bien sûr le monde est petit et on finit par retrouver les personnes qu'au fond on a besoin de voir, comme Juliet que j'allais revoir, mais ça je ne le sut qu'après être monté. Moi qui croyais dire au revoir a tout ces soucis, recommençait a vivre normalement, a côtoyer des filles, enfin je continuais normalement pour ça. Il faut bien avoir une vie sexuelle active a mon âge, même si je ne l'a considérais pas active. La vie est pleine d'obstacles qui se mettent sur mon passage, l'oublier aurait été si facile, si je ne pouvais l'oublier, je devais l'obtenir, c'était aussi facile que ça, et par quoi commencer ? Le pardon.
toi derrière l'écranPseudo : Zidaine, Zid Age : [ ] 10 & 13 ans [ ] 13 & 16 ans [ ] 16 & 18 ans [xXx ] 18 & plus Mon Avatar : Ian Somerhalder Découverte du Forum : [ ] Un partenaire [ xXx ] [Un top site [ ] Une Pub [ ] PRD [ ] Google [ ] Autre ... Mon Opinion Dessus : [ xXx ] Trop Méga Super Cool xd [] Super bien [] Correct [] Pourri xd [] Autre (A préciser) Code du règlement : - Spoiler:
OK by Oxa Mes Petits Commentaires : J'adore et ai hâte de faire souffrir James (L) *BAF* Test RP :- Spoiler:
C'était de la pure torture, je ne pouvais plus tenir, l'impatience qui bouillonnait en moi mélangeait a cette envie de savoir, cette curiosité insatiable, je me devais de mettre un terme a tout cela ou d'en avoir le cœur net, de tout prendre, par la force ou pas, je me devais de savoir, mais ce que je n'avais pas prévu c'était la force de ma nouvelle détermination, je me devais de tenir, je ne faisais que la regarder, c'était déjà trop, son corps m'appelait, mais je n'osais pas, je me sentais coincé dans mon propre corps, je ne faisais que d'infimes mouvements, boire mon verre, il n'y avait aucun contact entre nous et c'était comme si il y en avait eu un, l'ambiance était électrique, mais pas si froide, elle brûlait même, une ambiance bouillante qui n'allait pas tarder a exploser, j'étais un homme, j'avais des hormones qui se voulait utiliser, et la je les conservais, je leur empêchais de faire ce que je faisais toujours. Céder a la tentation, mais je n'y céder pas, du moins pour l'instant, je ne me voyais pas tenir ainsi indéfiniment, sois je me lançais sois je partais d'ici contre l'envie de ma mère, je n'étais pas coincé mais j'en avais l'air, et c'était cela qui se rajoutait a toutes mes autres frustrations, le prix d'un changement fait mal, je le ressentais. Si seulement je pouvais lui enlever son masque mais je ne pouvais pas, nous étions d'abord en plein public et surtout, si je faisais ça j'aurais la honte sur ma famille en ce bal, je ne pouvais, c'était hors de question. Je me devais donc de ne pas quitter son regard, et j'eus un sourire lorsque je vis le sien, son naturel, sa beauté, me laissait sans voix, et je gardais donc le silence, il n'y avait pas de réel discussion mais tout se passait réellement dans le regard, il y avait une alchimie qui nous liait, enfin c'était dans ma tête que je pensais cela, peut-être qu'il n'y avait rien du tout au fond et qu'on se jouait simplement de moi, si c'était cela, alors je serais vexé, mais tellement. Surtout que ma cavalière était en retard, mais cela j'essayais de ne pas trop y penser, si elle me surprenait avec un autre elle en souffrirait autant que j'en souffrirais. Mon regard s'engouffrait dans le sien, et le temps d'une réponse était venu je pensais, mais que répondre a ça ? Tout le monde me connaît, c'était vrai, ça avait des bons côtés mais surtout des mauvais, avec ma sale réputation et celle de mon père en surcroît, j'en avais de la chance, et elle devait sans doute connaitre ma réputation, elle devait donc juste vouloir quelque chose de moi, mes entre ces longs regards tentateurs, rien n'était encore décidé dans ma tête, je ne pouvais deviner ces pensées par ces gestes, je ne pouvais rien faire, j'étais a sa complète merci, a la merci d'une inconnue. Mon point faible se dévoilait : les femmes. Mais pas des milliers, certaine seulement, celle qui se démarquait du lot, et elle, se démarquait admirablement du lot, c'était sans doute la première fois que j'étais accosté a un bal, une grande première. Du coin de l'oeil je vis ma mère ravi que je parle a une femme, sans doute y voyait-elle des projets de mariage, mais si ma mère ne la connaissait pas, moi non plus, et qui la connaissait ? Personne, mais elle me disait tellement une personne que je n'arrivais même pas a mettre la main dessus, c'était tellement frustrant. Je décidais donc de ne pas répondre, continuant a nous regard et attendant qu'elle engage a son tour la discussion, qui cette fois tourna autour de la danse, elle me proposait a danser, mon regard se figea dans le sien, c'était tellement tentant que je ne pouvais l'y refuser, ignorant les conséquences de mes actes, j'allais accepter.
" J'en serais tout honoré d'accepter, une valse ? "
Je lui tendais mon bras, elle s'en appuya dessus, nous marchâmes vers le centre de la piste, nous étions accueillis par des regards et je voyais ma mère se déplaçait pour regarder son fils montrait une élégante danse, j'étais très bon danseur, mais cela, personne ne le savait. Ma main sur sa taille, l'autre dans sa main, j'attendais un signe, plongeant mon regard dans le sien, enfin j'avais eu un toucher avec elle, c'était bon, je me sentais réjoui, j'avais un sourire béant sur le visage, ridicule ! Je me trouvais ridicule, mon cœur battait plus vite, je ne savais ce que j'avais, j'étais sous un charme sur lequel je n'avais aucun contrôle ce sentiment d'exaltation, je me sentais au Paradis, j'avais déjà gouté a ce sentiment, mais pas avec cette personne, étais-je .. ? Non, impossible.. mais pourtant ? Non ! Une vraie lutte intérieure, la cadence se faisait lente et je me devais de lancer la discussion, mais a quel sujet ? Je ne pouvais, humectant son odeur une nouvelle fois, je me sentais aux anges, quel adorable sensation que j'avais là, j'étais charmé et je ne savais même pas si elle aussi, je ne savais rien d'elle, elle m'était totalement inconnue mais si familière d'un côté, je ne savais que penser, je souffrais le martyr a ne plus savoir quoi faire, j'étais en totale contradiction envers moi-même, mais heureusement, mes mouvements eux, était en totale harmonie dans cette danse ou doucement et peu a peu, plusieurs personnes nous regardaient dans cette élégante danse que nous faisions avec une tel sensualité, une tel douceur mais si provocante mais juste a la limite de l'indécence, qui nous rendait si spéciale. Je murmurais alors a son oreille lorsque je l'a faisais glisser, elle en arrière, puis revenant vers moi.
" A croire que je ne suis pas le seul a succomber a votre charme, vous attirez les foules très chère. Vous ne pouvez savoir a quel point vous me rendez.. dingue. "
Je n'avais trouvé d'autres mots, mais c'était vrai, j'en devenais fou, littéralement, fou d'elle et fou dans ma tête, l'amour m'était un tourment et une bénédiction.
Dernière édition par James H. Davids le Ven 16 Avr - 21:23, édité 8 fois |
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