Nom et prénom(s) : Abraham, Maxence Liam
Date et lieu de naissance : 11 juin 1985
Lieu d'habitation : Aucun lieu particulier étant donné que j'ai fugué de chez moi. Je considère Aloa Liberta un peu comme ma maison à vrai dire.
Statut civil : célibataire
Caractère :
Sa mère, Alexandra Abraham • ses qualités. : Le premier trait de caractère qu'on lui accorde c'est son grand sens de l'ironie, il faut dire qu'il possède une très grande capacité à la répartie et aux sarcasmes, et il faut bien avouer qu'il adore ça. Mon bébé est un garçon joueur, toujours à l'affut d'une possibilités de gagner de l'argent ou tout autres moyens d'être reconnu par les autres mais dans certain moment il sais se faire discret en tout temps. Téméraire et passionné il fait les choses qu'il aime et il le fait bien. C'est-a-dire que quand quelques choses lui plaît, je vous laisse imaginez quoi, il feras tout pour l'obtenir dans un laps de temps le plus réduit possible et rien ne l'empêcheras s'assouvir ses envies et ses besoins. Et n'allez pas croire que, comme dans les grands films qui font pleurer les filles, derrière son attitude se cache un petit cœur qui bât et qui n'attends que l'amour, vous feriez une grave erreur.

Cleveland Abraham ; son père • ses défauts : Mon fils n'écoute pas ce qu'on lui dit, vous auriez beau le mettre en garde contre tout et n'importe quoiqu'il en sois il irais quand même jouer avec le feu. Compliqué dans sa tête Maxence complique aussi la vie des autres jusqu'à les pousser à l'abandon ou à la folie, il peut vous faire devenir fou .. oh oui il le peut , même malgré lui. Pas très attaché aux valeurs humaines et morales il se lasse facilement des choses qu'il peut avoir sans se battre, par exemple avec les femmes, dès qu'il peut avoir une fille et qu'elle est prête a tout pour lui, elle devient tout a fais banale a ces yeux et il passe à autres choses rapidement , et hop au lit et il s'enfuit chez lui ensuite ou encore le contraire il demande a celle-ci de partie malgré que la demoiselle ne le désire pas. Diabolique, je vous avez prévenus , au moins , ne me dites pas le contraire , car vous aurez encore une fois la mauvaise réponse.
Orientation sexuelle : hétérosexuel

C’est avec un sourire que je commence ce journal qui me sera sans doute inutile, mais au moins pour la personne qui serait susceptible de tomber sur lui. J’estime être fièrement d’accord avec cette citation du film de Coppola. Sans paraître macho – tiens, elle est bonne celle-là - ou matérialiste, sans fric, nous sommes rien. Surtout les hommes. Et j’estime de nouveau être un cadeau des cieux pour certaines d’entre vous, quand je dis certaines, je parle notamment des femmes, et, ma foi heureusement, rien n’est plus sublime que le corps d’une femme. Je m’appelle Maxence L. Abraham.

« Dans mon commencement est ma fin et dans ma fin mon commencement.»

« CHAPITRES ONE.»

Naître en plein vol, n'est-ce pas merveilleux au yeux de tous ? En faite a première vu cela peut paraître amusant, mais pour moi c'était tout le contraire car déjà quelque minutes après ma naissance mes parents était déjà en grande discutions pour quelle nationalité opter. Une grande discussion vous direz et bien , cela aurais plus passez pour une chicane de couple. De plus , depuis ma naissance mes parents ne cesse de se chamailler que pour de simple niaiseries. Mes prédictions se sont révélées avérées puisque, quatre ans plus tard, il se retrouve au milieu d'un divorce. Maman. Papa. Le choix restait entier et la juste réponse, un mystère. Ni l'un, ni l'autre. Mon entêtement était risible mais justifié. Mes caprices et exigences passaient vraisemblablement au second plan puisqu'on prit une décision pour moi. Le gagnant ? Papa. Le perdant ? Moi. Hé oui déjà quelques temps se sont écoulé et me voilà déjà abandonné de mes propres parents. Le paradis non ? Depuis, le jour de ma naissance j'était pratiquement toujours seul avec ma nounours qui était tout simplement sublime malgré mon jeune age. Au moins, j’aurais la sagesse, tout comme sa mère. Du moins, je l’espérais. Tout comme j’espérais beaucoup de choses, dont la liberté que j'avais déjà acquis en certain cas. À Cuba, ce n’est pas un droit que nous possédons. D'ailleurs je crois que nous en rêvons tous de la liberté. Voilà ce que je désirais moi . Pouvoir prendre le premier avion et partir loin de ma ville natale n'étant pas la ville des ses rêves , vu les loi qui y règnent . Se trouver un emploi, un vrai. Non pas me mettre à genoux devant les touristes et se laisser traîner à la laisse, mais bien sauver des vies, gérer des entreprises, enseigner à la relève.

« CHAPITRES TWO.»

Belle-maman. J'avais 15 ans et elle, 22. D'un regard elle m'emportait Dieu sait où. Son sourire me bouleversait. Je l'a haïe pour ça presque autant que je l'a désirée. Elle ne le tromperait pas. Aucun homme n'est dupe quand on cherche à l'obtenir. Gagné. Les femmes réussissent toujours. Son père a fini par le découvrir à moins que... Non. J'ai fait en sorte qu'il nous découvres. Cadeau pour toutes ces années passées avec l'interdiction de voir maman. Cadeau pour ne pas m'avoir permis de lui dire adieu alors qu'elle agonisait sur un lit d'hôpital ivre et désabusé. Résultat ? Jeté dehors. Je ne s'en porte pas plus mal.

Me voilà au port. Il restait cinq minutes avant l’heure du rendez-vous. Je ne voulais pas non plus arriver trop tôt, de peur de me faire repérer par un haut placé ou je ne sais qui, pour ensuite paraître trop suspect. Je me suis assis sur un rocher, peu éloigné de l’entrée principale, avant d'apercevoir un bateau arrivé au loin, un homme arriva. L’homme me fit un signe de tête bref et discret, mais assez prononcé pour me faire comprendre qu’il était là pour me prévenir que c'était mon navire.. Je me suis approché de l'entrée et j'y suis entré.

Ma mère avait toujours été une femme frivole, je savais qu’elle n’avait pas toujours été une sainte. Peu de temps avant de mourir, durant l’absence de mon père elle m’avait fait promettre d’assurer de ma survie, de mon envol, de ma liberté. J’avais vu juste; je quittais Cuba. Quand tout s’est dessiné clairement dans ma tête, j’ai eu peur, très peur. Personne n’avait le droit de quitter le pays, à moins d’être marié ou bien d’avoir un contrat ailleurs stipulant strictement le billet de retour. Hors, quand on fugue, on ne prévoit pas revenir. Si je partais, c’était pour toujours. Je n’avais aucun passeport, aucune carte d’identité , mais heureusement suffisamment d'argent. J’ai tourné la tête vers Cardenas, ma ville natale, qui peu à peu se flouait dans le décor. C’était la dernière fois que je voyais cet endroit.

Avant d'embarquer sur son bateau, le capitaine aimerait vous poser quelques questions sur votre venue et vous connaitre un peu plus. Les premières questions posées sont bien sûr à rédiger, quant aux suivantes, vous pouvez répondre directement.

Bonjour, ici le capitaine de ce bateau, mais vous pouvez m'appeler capitaine Valdore. Aujourd'hui est un grand jour, nous entamons une croisière à travers le monde et sans limitation de durée ! Voici ma première question, pourquoi avoir embarqué à bord de l'Aloa Liberta ?
Je n'ai pas de réel réponse à vrai dire, comparativement aux autres, rien n'était prévu en tout cas par moi. Sans même être au courant de rien ma mère avait prévu mon départ à bord de votre magnifique bateau de croisière.

Quel pays aimeriez-vous visiter ? Et puis-je savoir pour quelles raisons ?
Je n'ai pas particulièrement envie de visiter un pays en particulier. Il on tous un certain charme et c'est pour cette raison que je n'est aucune préférence et puis avant même que je suis arrivé ici, je n'était même pas au courant que votre navire était un bateau de croisière de luxe.

Si vous ne pouvez emmener qu'un seul objet sur une île déserte, lequel serait-il ?
J'opterais probablement pour la photo de ma mère. Celle qui ma permis de monté ici et de quitter ma ville natale et ainsi laissé LA personne que je déteste le plus au monde qui est nul autre que mon père.

Maintenant, que je connais toutes les raisons qui vous ont poussés à embarquer sur l'Aloa Liberta, puis-je me permettre de vous poser quelques questions un peu plus.. comment dire, personnelles ? Excusez ma curiosité mais je me dois de connaître chaque voyageur qui met le pied sur mon bateau. Votre soirée, vous la passez à jouer au casino, à danser à la discothèque ou non loin du bar ?
Non loin d'un bar généralement, mais il m'arrive de passé une soirée tranquille sur le bord de la piscine ou encore en compagnie de quelques copains.

Un de vos buts principaux en venant ici, est-ce de faire de nouvelles rencontres, de trouver le grand amour ou d'ajouter de nouvelles conquêtes à votre liste ?
Je dirais un peu de tous. Bien que je suis avant tout un homme qui préféré les relations d'un soir, je ne m'empècheras pas toutefois, si l'occasion se présente de trouver le grand amour.