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LE FORUM A FERMER SES PORTES DÉFINITIVEMENT LE 08/01/2012 à MIDI Un immense merci à tous les membres qui ont participé à l'aventure et surtout à Juliet, Mike, Soan, Aydan, Drew, Deanou, Sepho', Willou, Oksana, Matthew et Junette qui sans son idée fantastique, AL ne serais pas et j'en passe surement ! On a vécu une aventure formidable mais aujourd'hui, il est grand temps de tournée la page. Vous allez me manquer (a) Channou/Lexy/Jess
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ADAM ♕ A kiss to build a dream on

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MessageSujet: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:23

JE ME PRÉSENTE ADAM J. LEVY-STEINFELD





Nom et prénoms : Adam Jonathan Andrew Levy-Steinfeld. Ouais, je sais, sur le test de la longueur on repassera. Mais si on oublie le fait qu'il fasse trois pieds de long, il est pas si mal mon nom.
Date et lieu de naissance : Un certain douze septembre d'il y a vingt-quatre ans, quelque part en banlieue de Londres.
Lieu d'habitation : Bah, Dallas, au Texas, mais après le voyage, il y a de fortes chances que je retourne chez moi, en Angleterre.
Statut civil : Pour le moment, célibataire.
Orientation sexuelle : WAYFAREROPHILE... Ouais, je sors. Homosexuel, and proud of it.
Caractère : J'ai toujours été dans le genre un peu hyperactif, a vouloir tout tout de suite. A profiter des secondes plutôt que de les laisser partir sans me demander d'autorisation spéciale. Vous voyez le genre ? Un peu l'électron libre du coin quoi. Celui qui sera toujours forcément de toutes les conneries et/ou farces plus ou moins idiotes et amusantes. Celui qui n'a aucune gêne a être ce qu'il est. A une époque, j'étais toujours optimiste. Mais disons que ça m'a passé quand la nostalgie a pris une place assez importante dans ma vie. Je m'attache pas vraiment facilement aux gens, mais quand ça m'arrive, c'est vraiment pour la vie. Et même plus. J'ai grandi avec un certain manque d'amour, ça doit venir de là ce truc de pas accorder ma confiance au premier venu.

Say goodbye to my heart tonight

Et elle pleure, douce et candide. Et moi je ne devrais pas être là. Je ne comprends plus, ou peut-être n'ai-je jamais compris ?J'ai dix ans et je suis rentré trop tôt de l'école. Car j'ai simplement précisé, un éclair de malice dans le regard, que moi, je n'avais pas de père. Ça fait bel et bien mauvais genre quand tout le reste des élèves est en train de se réjouir de la babiole qu'on leur propose de bricoler au leur. Tous les ans à la même époque c'est la même chose, quand la période du 'Dad's day' arrive, on me regarde de travers, je ne sais plus ou me mettre, je ne suis plus chez moi. Je suis étrange, et c'est a ce moment-là que tous s'en aperçoivent. Parce que moi, je n'ai qu'elle. C'est autour d'elle et juste d'elle que tourne mon monde. Je n'ai qu'une mère et elle a tous les rôles de ma vie. Elle au trente-sixième dessous. Je m'assois prend sa main trop fine dans la mienne et elle sursaute. Je suis si léger qu'elle ne m'a pas entendu arriver. Pourtant, les vieilles lattes du parquet ont grincé, et plus d'une fois. Mon intention n'était nullement de lui faire peur. Je voulais juste la rassurer, et lui dire du haut de mes dix ans, que dans ce monde fou qui tourne a l'envers, elle a au moins une personne sur qui compter. Il n'y a que quand je suis avec elle que je me sens comme ça. Que je me dois d’être grand et plus fort que le gamin que je suis censé être. Il n'y a que dans ces moments-là que je suis calme, que j'arrête de crier, que je parle si bas qu'elle seule peut m'entendre. Parce que je voudrais qu'elle puisse toujours s'appuyer sur moi, elle, mère si fragile, qui ne devrait même pas être là, ou en tout cas pas seule. On a peut-être pas grand-chose, et pas beaucoup d'argent, elle pleure peut-être souvent, on est peut-être juste deux, mais c'est notre famille. Aussi petite et décimée soit-elle, c'est notre famille. Et tandis que je recueille sa dernière goutte de tristesse dans ma paume, elle me sourit. D'un de ces sourires tristes qui sous-entend, 'ne t'inquiète pas, on va s'en sortir'. Mais c'est moi qui doit la rassurer, en un souffle « Je suis là maman... » un simple souffle, et ce silence qui n'exprime rien mais qui veut tout dire. Qui quémande la confiance et les sourires. Le futur et des jours meilleurs ? Je voudrais juste qu'elle soit heureuse. Je pose ma tête sur son épaule et elle serre fort ma main. Ainsi, nous voilà forteresse que personne jamais ne pourra faire faillir. Nous sommes invincibles. Et ces quelques secondes se perdront peut-être dans l'oubli, comme des larmes dans la pluie. Ou peut-être resteront-elle à jamais dans ma mémoire, ces quelques douces pensées. Et je dépose sur sa joue un baiser, un baiser qui cherche a effacer le passé, un baiser d'enfant, mais plus si candide maintenant car j'ai dix ans, et je joue déjà dans la cour des grands.



Never gave up the fight

C'est l'aurore, au lendemain de la 'grande' nouvelle. Pardonnez l'ironie. J'ai grandi, et j'ai eu le temps de m'habituer aux larmes. Jusqu'au jour ou elle a cessé d'en verser. Jusqu'au jour ou un autre à séché ses larmes. Nous ne manquons plus maintenant, plus de rien. La vie n'est pas parfaite, car je dois partager cette chose qui comptait plus que tout pour moi, mais ce n'est pas un enfer non plus. Après tout c'est un type comme un autre, ni adorable, ni affreux. Enfin, l'avantage numéro un c'est que même s'il n'est pas riche, il est déjà plus aisé que nous niveau argent, et ma mère n'a plus a travailler aussi dur qu'avant. Et tout ça me donne envie de sourire à l'avenir qui se révèle un ami après toutes les crasses qu'à pu nous faire son frère passé. Je n'ai plus envie de perdre en regrets, même si je sais qu'il y aura toujours une part de moi qui sera comme ça. Je voudrais stopper net douce mélancolie et lente nostalgie. Nous ne serons plus deux, mais quatre. Mais la vie peut bel et bien se révéler exceptionnelle cette fois-ci. Comme la chanson vous savez... 'Maybe this time i'll be lucky' Mes yeux se perdent dans la buée sur ma fenêtre tandis que j'entends résonner dans ma tête les premières notes de irrévérencieuse musique. Peut-être que je pourrais bientôt apprendre à jouer d'un instrument. Mon vieil harmonica commence à n'en plus pouvoir de s'être tant fait souffler...Et puis, cette nouvelle vie qui chante a au moins un autre avantage. Elle s’appelle Isaure, elle est à demi française à demi américaine, a quelque chose comme trois ans de moins que moi et s'est auto-proclamée soleil de mes pensées, avec sa voix d'ange et son sourire mutin. Elle est entrée dans ma vie adorablement et de la façon la plus simple et discrète qui soit. Comme ça, elle était là, et c'était évident que cette boule de sentiments, cette voix d'ange et ces mains de pianiste faisaient partie de ma vie. Comme ça, en claquant des doigts. Et elle tente tant bien que mal de m'apprendre la musique, me communiquant longuement sa passion des notes, se moquant peut-être un peu trop régulièrement de mon incapacité complète a monter dans les aiguës. Mais elle me donne l'envie de faire tout ça, de jouer, de chanter, de vivre en somme. Je suis à partir de maintenant quelqu'un d'autre, un artiste peut-être. Et plus jamais je ne laisserais le temps m'échapper, les secondes couler trop vite entre mes doigts, plutôt crever.Je veux profiter de ma vie car qu'elle qu'en sera sa longueur elle sera intense. Car je sais qui je suis dorénavant, plus juste le gamin modèle qui soutient sa mère jusqu'au bout non bien plus. Je suis moi, semi-hyperactif, accro aux notes de musiques et à la petite sœur que je n'ai jamais eu, plus juste le gamin qui rêvait de mieux, non, je suis un soleil, je bouge et j'en ai besoin, je vis, je vis simplement et je croque à pleines dents tous les instants qu'il me reste sur cette terre si indécise quant au bonheur et au malheur des gens.

We're young, we're don't looking for where we belong

Dans les films, il arrive toujours extraordinaires aux personnes les plus ordinaires. Ça doit être pour l'identification. Mais tout ça prouve bien que l'amour, la totale acceptance de soi par quelqu'un d'autre, c'est littéralement n'importe quoi. Ou qu'au moins c'est très rare. Je reste sceptique quand à la véracité de la chose dans toute ma conscience, mais mon cœur qui bat souvent trop vite me demande d'y croire. Je ne saurais peut-être jamais. Mais au final je m'en fiche. Les trois seules personnes pour qui je crèverais sont dans ma vie depuis bien longtemps maintenant. Ma mère, la douce Isaure, et Nathan l'ami fidèle, l'alter ego, si ce n'est plus que ça. Un frère peut-être. La seule personne qui m'ait jamais totalement accepté comme je suis. Avec mes coups de blues et mes mains qui volent quand je parle. Tout ce qui me fait. Y compris mon orientation sexuelle, que j'assume totalement, mais malheureusement un peu moins ma mère. Un peu de déni dans l'air donc. Mais bon, c'est idiot de se plaindre, surtout quand on sait que des gens peuvent se faire tuer pour ça, dans d'autres parties de la terre. C'est drôle la façon qu'à eu ma mère de m'en vouloir, puis de m'adorer, et enfin de me laisser me perdre dans les méandres de sa cervelle, comme si je n'étais plus là, comme si je n'étais plus qu'un souvenir. Car elle est heureuse maintenant, elle n'a plus besoin de moi. Mais je n'oublie pas que je suis ce que je suis, et que je ne changerais pour rien au monde, ni pour elle, ni pour personne, ni pour aucun mec sur cette planète.
Enfin, en résumé, maintenant, je suis au lycée, notes tout justes acceptables et la musique pour vivre et rien qui ne changera ma vie, et rien ne me changera. Rien. Et quand je chante je suis libre. Je ris, je m'amuse, je suis là ou je dois être, et là ou j'ai toujours voulu être. Quand je fais des grimaces et prend un air idiot, quand Isaure rit, je suis aux anges. Quand je fais des conneries avec Nathan, ou que je lui parle simplement, ça me donne envie de sourire, toujours sourire. Et si c'est ça être un loser, alors ça me convient amplement. Parce que je n'ai jamais été aussi heureux. Parce que je fais ce que j'aime, je rattrape le temps perdu et la musique devient ma vie et prend possession de mon âme. Mais le soir, dans le grand lit aux draps blancs, mes larmes continuent de couler. Je suis grand pourtant, je devrais arrêter de pleurer. Je sais maintenant, je le sens qu'à un moment ou un autre je vais partir. Il faut juste que j'attende le signal. Lequel, je n'en sais rien, mais il faut que je l'attende.



The girl in the other room

Qu'est-ce qu'il lui a pris, je n'en sais rien, et je n'en saurais jamais rien. Je sais juste qu'elle n'est plus et que plus rien ne m'attache à cette banlieue londonienne ridicule. Elle était simplement mon soleil, ma froggy. Mais elle n'est plus, certaine Mort l'aurais emportée. Pourquoi je ne le sais pas, mais je sais que c'était ça mon signal. Je vais regretter les longues discussions avec Nathan, ou les sourires en coin de ma mère, mais sans ce substitut de petite sœur, je ne suis plus rien d'autre qu'une flaque de larmes. Il faut pour me reconstruire que je me tourne vers quelque plus lointain passé. Et je contemple les grands oiseaux de fer qui s'envolent. Bientôt je serais dans l'un d'eux, et je partirais, loin, à l'autre bout du monde, sur un autre continent, vers New-York et l'Amérique, vers là ou j'ai retrouvé sa trace, à qui ? Mais à lui, mon père, sur qui je ne peux pas faire de crois définitive, car il est je le sais une part de moi. Et je pars sans un mot, comme un voleur dans la nuit. Je n'ai dit au revoir à personne, pas pu, pas voulu. Je ne sais pas. Devant leurs yeux, j'ai eu peur de baisser la tête, et de changer d'avis, de faire marche arrière. Mais il faut que je fasse la lumière sur tout ça. J'ai vingt-et-un ans et je ne sais même pas qui je suis, c'est réellement affligeant non ? Je ne sais pas pourquoi j'ai ce blocage. Comme si je ne pouvais pas avancer sans savoir qui il est. En attendant de le trouver, je promets de vivre pour deux. Et même après. Je me dois de vivre pour toi petit ange. Partie trop tôt mon Isaure, je ne serai pas là quand on t'enterrera. J'ai trop mal rien que d'y penser. Rien que d'écouter tout ce jazz que tu vénérais. Ce n'est pas si mauvais finalement. Et il ne faut pas que j'arrête de l'écouter. Il ne faut pas que je t'oublie. Jamais. Ni toi, ni les autres, ni toi, ni Nathan, ni maman. Après tout, vous êtes la partie de moi que je connais. Je ne sais pas comment me battre pour arrêter de pleurer, mais je peux au moins me battre contre ma peur, prendre mon courage à deux mains, et partir loin découvrir qui je suis en réalité. Qui sait, peut-être que j'aurais moins mal en pensant à toi quand je reviendrais. Peut-être que Nathan cessera d'être comme ces derniers temps, si secret. Peut-être que je pourrais à nouveau sourire sans toi pour m'y forcer.


Les décharges publiques sont des Atlantides

Et je bois, trop, et je bois, comme un trou. Pour oublier que rien ne s'est passé comme je l’espérais. Que de A à Z j'ai foiré, ou qu'en fait, j'ai fait tout ça pour rien. Et je bois pour oublier que mes dernières recherches à New-York m'ont donné une adresse, ici, à Dallas. Que j'ai repris l'avion, bêtement, suivant un instinct qui bat la mesure et un cœur qui battait mille fois trop vite. Et je bois pour oublier ma connerie. Pourquoi au juste ai-je ressenti le besoin de frapper, et d'expliquer qui j'étais quand on m'a ouvert. Elle était tout en noir et n'avait pas quinze ans, elle me faisait penser à certain ange reparti trop vite. Et rien qu'en l'a voyant je me suis dit que j'allais peut-être retrouver une famille. Mais non, la mince lueur d'espoir s'est vite défilée. C'était ma demi-sœur par le sang, et sa mère, harpie dans toute sa splendeur ne me croit pas quand je lui explique qui je suis. Pleure, et crie. Il est mort mon père, pour qui je suis venu jusqu'ici, celui de qui j'ai tant rêvé. Et je bois pour oublier tous ces rêves, toutes ces promesses et toutes ces années. Et je tombe de haut. Et je bois, comme un trou, comme un con, que je suis. Et je tombe, de plus en plus littéralement, et je m'endors sur un banc, les yeux face aux étoiles. Et je rêve à tout ce que j'ai manqué. Et je me dis que je ne pourrais jamais revenir. Vous auriez honte de moi, qui sait si vous ne m'avez pas oubliés tous. Et ma mère à qui j'ai fait il y a quelques minutes le serment de ne plus jamais la revoir, lui reparler. Au final, le seul qui ferait que je rentre un jour c'est Nathan. Mais c'est pas près d'arriver. Je vous parie que même s'il ne m'a pas oublié, il ne me parlera plus. Je ne suis rien pour personne, je ne suis rien pour moi, et je ne sais même pas qui je suis vraiment. Je voudrait mourir, creuser pour que le gouffre ou je m'enfonce soit encore plus profond. Profond comme cette sensation de vide au creux de mon estomac. Je suis bon à ramasser à la petite cuillère mais personne ne le fera.



The beginning of a new world

Aujourd'hui j'embarque, c'est décidé, tour du monde et tout ce qui s’ensuit. Et quand je regarde en arrière je me dis que c'est tout ce qu'il y a à faire. Un an, je vais passer un an à rêver pour moi, à sillonner les mers, à me construire. Avec cette fille, Illiana, point de repère fixe dans un monde étourdissant. Adorable et un peu perdue comme moi. Qui m'a ramassée cette nuit ou j'étais au plus bas, au fond du fond. Si elle n'avait pas été là, si nous n'avions pas passé des heures à parler, si nous ne nous étions pas soudés comme ça, qui sait ce que j'aurais fait ? Tout le monde le devine, j'aurais ouvert mes veines, cesser de respirer, laisser le sang partir et couler, loin, loin en dehors de mes veines. Mais elle m'a relevé. Et disons que je suis resté, parce que je n'ai pas eu le courage de rentrer d'abord, et parce qu'après tout, sans elle je ne serais pas là. Ni ailleurs. Je suis restée pour elle. Et pour ne plus souffrir. Et j'ai tenté d'oublier, de tout oublier. Mais malgré tout, plus le temps avance et plus je m’aperçois de mon mal du pays. Mais avant de prendre toute décision, j'ai un an, un an à voyager. Elle m'a un peu forcé la main certes, mais je m'en fiche. Car ça va être parfait. Et peut-être qu'à l'issue de tout ça, je pourrais aller retrouver la seule personne qui m'ait vraiment manqué. M'excuser d'être parti sans un mot. Et lui dire le vide que ça a fait qu'il n'ait pas été là. Un vide plus qu'étrange... Peut-être qu'après cette année la vie reprendra ses couleurs.




UN BOUT DE MOI ................



Bonjour, ici le capitaine de ce bateau, mais vous pouvez m'appeler capitaine Valdore. Aujourd'hui est un grand jour, nous entamons une croisière à travers le monde et sans limitation de durée ! Voici ma première question, pourquoi avoir embarqué à bord de l'Aloa Liberta ?
Pour souffler. Pour prendre le temps de ne penser à rien. Pour arrêter de me taper la tête contre les murs constamment. Et pour réfléchir à la foutue décision cruciale qu'il me reste à prendre. Pour me trouver. Et trouver du courage.

Quel pays aimeriez-vous visiter ? Et puis-je savoir pour quelles raisons ?
Tous, sans exceptions. La France surtout, en souvenir de certain ange dont je n'aime pas à parler.

Si vous ne pouvez emmener qu'un seul objet sur une île déserte, lequel serait-il ?
Mon téléphone portable. Y'a plein de jeux supra-coolos dessus. Ça passera le temps. Et je pourrais commander une pizza.

Maintenant, que je connais toutes les raisons qui vous ont poussés à embarquer sur l'Aloa Liberta, puis-je me permettre de vous poser quelques questions un peu plus.. comment dire, personnelles ? Excusez ma curiosité mais je me dois de connaître chaque voyageur qui met le pied sur mon bateau. Votre soirée, vous la passez à jouer au casino, à danser à la discothèque ou non loin du bar ?
Je dirais entre la discothèque et le bar.

Un de vos buts principaux en venant ici, est-ce de faire de nouvelles rencontres, de trouver le grand amour ou d'ajouter de nouvelles conquêtes à votre liste ?
Rien de tout cela en fait. Justement, je fais plutôt ce voyage pour me trouver moi, en tête à tête avec ma pomme. Et découvrir si c'est encore possible qui je suis.




Derrière l'écran ................


PSEUDO : ComicStrip
AGE : 14 YO
AVATAR PRIS : Darren Super-hot Criss
COMMENT AS-TU ATTERRI ICI : Par la route de l'ouest nommée Bazzart
CE QUE TU PENSES DU FORUM : IL EST TROP SUPERCALIFRAGILISTICEXPIALIDOCIOUS ET SUPERMEGAFOXYAWESOMEHOT
CODE :
FICHE : [] Terminé [X] En cours
UN PETIT MOT : Désolée d'avoir pris autant de temps à 'minscrire, j'étais en travaux en mode sans internet chez moi... J’espère que mes résa's fonctionne toujours



Dernière édition par Adam J. Levy-Steinfeld le Mer 1 Juin - 17:05, édité 3 fois

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:26

Ah il était réservé? je vais donc enlever ma scénario avec lui Very Happy
bienvenue en tout cas :smile:
DARREN :heart:

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:28

Bienvenue ! :wub:

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:29

Merci à vous deux !

Illiana, Sorry, mais ca ne m'étonnerait pas que ma réservation pour lui et Chris Colfer soit passée à la trappe. J'aurais dû être là à l'ouverture. -_-''

:content:

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:30

Pas grave ! Mais je veux de tout même un souuuuper lien :344:

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:35

Alors là, pas de problèmes, comment dire non à Heather. Je te MP vite, vu que j'ai un lien féminin important, et que bon, c'est toujours plus sympa de l'avoir là qu'en scénario'.

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:41

Bienvenue sur le forum ! :content:
On a décidé de ne plus réserver d'avatars après les réservations faites sur Bazzart, parce que des personnes font des réservations et commencent leurs présentations, mais ne les terminent pas. Donc, si deux personnes tentent le même avatar, ça sera la meilleure présentation qui le remportera.

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:43

Okaykay petit poulet, c'est noté.

Alors, je vais tenter d'avoir une super présa. J’espère que vous m'excuserez de pas être venue avant, j'ai exposé les raisons dans ma fiche et bon, voilà quoi :S

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 14:46

Je comprends, ne t'inquiètes pas !
Tu es le seul à avoir Daren Criss, pour le moment, donc tu ne devrais pas te faire du soucis là-dessus (:

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 15:42

Bienvenue sur le forum super-hot Darren :heart:
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★ A BORD DEPUIS : 29/04/2011
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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 17:06

MARCHI A TOUS !

Je crois que j'ai fini ma fiche !

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 17:08

Bienvenue sur ALOA & bon courage pour ta fiche !

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 17:12

Merci -même si ma fiche est finie =P- et bon 100ème message !

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 17:14

J'ai lu ca apres x) * boulette * & merci Very Happy

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitimeMer 1 Juin - 17:29

Je te VALIDE !
Bon jeu parmi nous Very Happy

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MessageSujet: Re: ADAM ♕ A kiss to build a dream on ADAM ♕ A kiss to build a dream on Icon_minitime


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