Zachary et Kennedy Hathaway se trouvaient dans leur appartement de Los Angelez. Ma mère lisait un livre tranquillement sur le lit, et mon père regardait la télé. Jusqu'au moment où ma mère perdit les eaux. Mon paniqua, et cela pendant dix minutes au moins,une perte de temps, il décida d'appeler les urgences. La future maman ayant eut ses contractions, ne pouvait pas bougée, et donc restée chez elle. Son mari avait appelé l'ambulance que sa femme allait accouchait d'une minute à l'autre. . La jeune femme criait de souffrance - c'est sûr que des contractions, ça fait pas des chatouilles -, il fallait faire vite. Quelques minutes plus tard,des ambulanciers arrivèrent chez moi. Ils n'ont malheureusement pas pu l'emmener à l'hôpital, car j'allais bientôt naître, et la faire accoucher dans un voiture, serait bien trop risqué. Les médecins se précipitaient sur ma mère. Ma mère commença à accoucher, les médecins lui disaient de pousser. Et elle leur répondait : " beh je fais quoi là ?! " D'après mon père, ma mère était une femme très caractérielle.

Pendant des heures et des heures, ma pauvre mère souffrait le martyr. Mais moi je ne voulais pas sortir. D'après mon père, elle était restée une bonne vingtaine d'heures dans la salle d'accouchement, pour m'extraire de son ventre. Mon père regardait toute la scène. Puis, préféra sortir de la chambre, car il savait qu'il allait s'évanouir comme quand ma soeur, Maxyne, est née il y a quatre années de cela. Quelques heures plus tard, je naquit un beau matin de juillet. On appela mon père, pour qu'il rentre dans ma chambre. Il vit ma mère, éblouissante, avec moi dans ses bras. Il avait les larmes aux yeux. Mais, quelques heures après ma naissance, ma mère mourut à cause de ses problèmes de santé. Mon père était déboussolé, ma soeur n'était pas encore au courant de la mort de maman. Elle était chez notre grand-mère. Quand elle a sut, elle fut anéantie.

Le jour de l'enterrement, il plut des cordes. Toute la famille et les touts les amis étaient réunis autour du cercueil en chêne. Le prêtre priait, et tout les proches pleuraient. Moi, j'étais les bras de ma merveilleuse grand-mère, et abritée sous le parapluie noir de mon grand-père. Depuis ce jour, mon père, Maxyne et moi allions la voir tout les jours. Malgré son jeune âge, ma grande sœur savait ce que voulait dire le mot mourir. Elle disait, que c'était le fait qu'une personne parte de la maison et ne revienne plus. Bref, ma mère, je ne l'avait jamais connue. Mais mon père ne faisait que me dire du bien d'elle. Parfois, je ressentais un petit vide maternelle au fond de moi. Mais heureusement, ma grande sœur, Maxyne était là, pour s'occuper de moi.

Le fait de ne pas avoir connue ma mère, ne m'a pas empêcher de vivre une enfance normale comme tout les enfants. J'allais au parc, j'avais des amis. Et j'étais riche, même très riche. Déjà, c'était grâce à l'héritage de ma mère. Et comme elle avait fait son testament, elle a décidé de léguer son héritage à moi et à ma soeur. Mon père lui était boursier.

Dès que j'eus dix-sept ans, je commençai à voyager. Le premier pays que j'avais voyagé, c'était la France. Ma soeur m'avait accompagné. Je ne suis pas allée à Paris, mais dans le sud de la France. Je ne connais que quelques mots de français " bonjour, merci, au revoir, et je t'aime ". Puis, l'Italie. J'ai visité la magnifique ville de Rome. J'ai prit un ou deux kilos à force de manger des pizzas et des pâtes. Comme mon père a vu que je ne faisait que voyager, il a décidé de me payer un voyage dans un des plus grands paquebot. Celui qui fait le tour du monde, Aloa Liberta.
Le jour J enfin arrivé, j'étais prête pour voyager. J'avais préparé mes valises deux semaines à l'avance et j'étais excitée à monter dans cet immense paquebot.

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