Comme convenue, la soirée tant attendu. Vous avez tous du recevoir votre code, si vous ne l'avez eu, envoyé un MP a channel qui se chargera de vous le renvoyez.
Le principe est simple, la soirée est masqué et pour que personne ne se reconnaisse, vous pourrez TOUS utiliser ce compte. Les identifiants vous ont été envoyé par MP.
Un code vous à aussi été fournit. Vous devez le poster à chaque début de message. Vous pouvez y rajouter un pseudo propre à vous et même une icône de votre personnage mais attention, celle ci devra être masqué !

La soirée se déroule sur un des plages de Basita, il est environ 20h00 quand les premiers passagers arrivent.

Amusez vous bien =D

Il était 20h passé, j'avais entendu parlé de la soirée masqué de ce soir par hasard, en discutant avec quelqu'un au bar. On en avait parlé rapidement et j'avais trouvé que cela était une super idée. J'avais été faire le tour des boutiques du coin pour trouver un masque sympas et jolie. J'en avais trouvé un argenté, avec de légère paillette et d'ornure d'orée. Je portais un maillot d'une couleur similaire en dessous d'une robe a bretelle assez simple blanche. On allait à la plage mais il fallait garder tout de meme un minimum d'élégance. J'avais aussi pris une serviette de plage, on ne sait jamais.

Quand j'arriva à destination, il y avait très peu de monde, j'avais pris soin de vérifié qu'on ne me reconnaitrais pas a travers mon masque. J'avais laissé mes cheveux détacher étant donné que la plupart du temps, ils étaient noué, cela accentuerais le doute de toute ces personnes. La soirée était réservé exclusivement au voyageurs et personnels du bateau, je connaitrais sans doute du monde mais je ne pourrais pas forcément savoir qui c'était. Je m'avanca vers la petite troupe déjà présente en leur lancant un :

ab56

La personne désormais désignée comme étant "Ab56" le temps d'une soirée arriva sur la plage. C'était assez amusant, ça faisait penser à un nom de code, un peu comme l'agent 47. Sauf qu'il n'y a personne à tuer. Normalement.
Il y avait déjà plusieurs groupes s'étant formés, discutant, certains ayant un verre à la main. Un feu de joie avait été allumé depuis peu dans le foyer constitué de quelques branches d'arbres sèches, et grandissait petit à petit.
J'avance à pas lents vers la fête sur la plage, guettant les alentours et les personnes se trouvant là.

J'avais entendu parler de cette fête en interceptant une conversation entre plusieurs personnes à proximité de la piscine. Ne sachant pas si c'était destiné à tous les passagers, je décidai de m'incruster quelle que soit la situation, en suivant certains conseils de pros. C'est la raison pour laquelle je suis venu à la soirée en ayant déjà un verre de champagne à la main. En fait j'ai acheté ce champagne pour rien je crois.

Etant une skins party, il me fallait bien sûr porter un masque. En fait ce n'était pas la peine d'en acheter un, et puis les autres passagers à la boutique auraient pu voir mon achat, il aurait fallu que je me cache tel le phantôme de l'opéra. Non, j'avais déjà un masque dans ma valise, ça peut toujours servir en cas de hold-up improvisé.

Je n'étais jamais été à aucune party comme ça auparavant mais pour l'instant ça a l'air d'être plutôt soft. Peut-être que les gens attendent encore que la boisson fasse effet.

Je porte donc le masque de singe grimaçant (n'ayant pas trouvé mon masque de Frank le lapin), mon numéro de téléphone griffoné dessus, et j'arrive devant un groupe, lançant un chaleureux :
-Salut, comment ça va ?

05a2..

Le temps passait tellement vite ici, j'avais l'impression que je flottais tel un enfant. Depuis toujours, j'avais eu envie d'aller dans une soirée masquer ou personne ne nous connais, dans ces nombreuses fêtes, il avait toujours des gens près à faire la plus grande fête qu'ils n'avaient jamais fait et j'étais un de ceux qui adore le faire. Bref, j'étais toujours dans ma cabine, je ne savais pas trop quoi mettre, donc j'optai pour des pantalons que je ne mettais pas d'habitude et une simple veston au cas où j'ai chaud..

Après quelques instants à marcher, j'arrivai alors à la plage. J'avais bien hâte de voir les belles filles et tout le tralala danser, bien sûr, je sera certainement de la partie.. J'avais trouver mon masque dans une boutique ou bien sur le masque était présent. Je pris bien sûr le format pour homme, noir avec deux barres bleu ciel vers le haut. Vu que je ne connaissait les masques de personne je décida d'aller m'asseoir..quelqu'un viendrait un jour vers moi.. Peut-être..

04a1. Who ?

Vêtu d'un jean noir et d'un polo blanc, et bien sûr, avec un masque, j'étais arrivé à la fête. C'est le genre de "party" que je déteste, parce qu'on ne sait pas qui est qui, et à la fin de la soirée on se retrouve à niquer avec son pire ennemi. Pourtant, j'y vais quand même... Peut être parce que tout le monde sur le bateau y va, alors je ne préfère pas être le seul con à rester enfermer dans ma cabine, ce qui, en passant, ne me ressemble pas du tout. Bref, il faut avouer que même avec un masque j'étais quand même mignon, donc je ne passerai surement pas ma soirée seul. Mais en arrivant sur la plage, d'abord je fus obligé d'enlever mes baskets (et mes chaussettes) puisque le sable allait les foutre en l'air, et je n'avais emmené qu'une seule paire. Ensuite, je me rendis compte que ce n'était pas le genre de soirée que je m'étais imaginé. Personne ne fricotait avec personne, la plupart des gens cherchaient à savoir qui était qui. Où est l'intérêt, expliquez moi ?! Bref, je vis un petit groupe qui semblait tout juste arriver, mais je n'avais aucune envie d'aller vers eux, et de dire genre "Salut les amis !! Comment ça va ?". Je crois qu'on ne me verra jamais dire ça.

Bref, après être allé chercher quelque chose à boire, j'aperçus un gars tout seul, et une fille qui s'approchait de lui. Je fis exactement comme elle, et m'avançai vers eux. La jeune femme parla, d'ailleurs j'avais déjà entendu sa voix quelque part, mais où je serais incapable de le dire... Peut être en soirée, ce qui expliquerait pourquoi je ne me suis pas à qui appartenait cette voix ! Je fis encore quelques pas, et j'étais à présent à côté d'elle et en face du gars. Comme j'avais entendu sa remarque, j'y répondis "naturellement" :

Ouais, c'est clair... Mais ça peut être drôle !

Peut être qu'ils voulaient rester seuls, mais c'était raté... Et puis, en principe, ils ne savaient pas qui étaient qui, donc ils ne pouvaient pas se connaître - ou se reconnaître.

05a2..

Je m'étais donc assis en espérant que quelqu'un veut bien venir parler, discuter avec moi. Mon plan marcha très bien car une demoiselle arriva près de moi, vêtue du robe noire avec des paillettes dorée, cette robe ,lui allait à ravie mais je ne savais toujours pas qu'il était cette fille. Elle s'assis alors à côté de moi et elle commença déjà à discuter.. Elle était sympathique

« Oui, mais j'adore ce genre de fête »

À vrai dire, j'étais très excité à l'idée de danser avec une personne qu'on ne connait pas, déjà que dans le navire je connaissait que quelques personnes.. Puis une autre personne nous rejoint, cette fois, c'était belle et bien un mec. J'étais bien sûr d'accord sur le point qu'on s'amuserait bien. Puis je vis des personnes allumer un feu.

« Vous voulez danser ou aller au feu ? »

ab56

Je sors de ma poche ma flasque, réplique exacte de celle bénie par 5 moines tibétains et servant et régénérer les forces de l'homme. Je décide d'aller la remplir avec un bon breuvage. Il se trouve justement qu'il y a un fût de bière à proximité. Ce n'est pas très prudent , près du feu, avec tout ça il ne manquerait qu'un chiffon pour pouvoir fabriquer tout un stock de cocktails molotov.
Lorsque je reviens au groupe où j'étais, les voilà assis. Je décide donc de m'incruster en prenant une chaise provenant d'un autre table, ainsi que la table elle même, et de les placer à proximité de cette autre table où de nombreuses personnes s'étaient précisément réunies autour d'une discussion. Si ça continuait, la table se verrait élargie au point de ressembler à celle de la dernière cène. A condition qu'on se mette tous du même côté comme des idiots, bien entendu.
Lorsque j'arrive à la table, j'entend quelqu'un dire :
« Vous voulez danser ou aller au feu ? »

Ces paroles me rappelèrent immédiatement une blague de scouts, dont je n'ai jamais fait parti puisque je n'aime pas aider les gens, ni la nature, et je répondis donc :
-Faites les deux si cela est à votre aise, allez donc dansez en allant vous brûler dans les flammes du feu, tel Jeanne d'Arc (la femme de Noé) au bûchet !

Après avoir ri abondamment, une autre femme arriva, nous souhaitant le bonsoir, ce à quoi je répondis tel un gentleman issu d'un film de la Hammer :
-Bien le bonsoir ! Si vous voulez bien prendre la peine de vous asseoir...

Je retire alors la chaise, et la pauvre fille se vautre par terre, du sable s'étalant partout sur sa tenue. Tout le monde rit à cette blague comme s'il avaient vu un dindon faire la brasse avec les pattes dans la mélasse !

[list]Ly21; Guess ...

J'avais donc re joint un groupe de trois persones. Une femme et dix hommes. Un des deux m'avait l'air Pluto pas mal malgré que je ne le voye pas étant donné que tout le monde était Mickey. Un jeune homme arriva en me souhaitant bonsoir après que moi-même je l'avais fais. Il me proposer de m'assoeir.

Avec façon, merci.

Je n'avais pas envie de m'assoeir, j'avais au contraire envie de bouger, de m'amuser de profiter de la vie ! Ce qui m'ennuyer un peu c'est que j'avais peur de faire des gaffes. Envers une personne que je ne pourrais pas reconnaître même si je l'aurai voulu, j'espere simplement pouvoir me retenir pour pas lui faire de mal. Même si cet tache s'annonce un peu difficile. En même temps, tout le monde était làa se dire: " wahou super, on s'est pas qui est qui ! Génial ! " Ca m'énerve on savait qu'on ne pouvait pas voir qui était qui mais c'es tout, on peut arrêter d'en parler pendant deux secondes. Je ne savais pas vraiment ce que j'étais venu faire ici et combien de temps j'allais y rester . Il fallait juste qe je trouve le bon ou la bonne partenaire de jeu. Pour l'instant je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. Alors j'attendais que quelqu'un prenne la parole mais pour dire autre chose que :" Oh c'est drôle" !

ab56

-HEY !
M'écris-je, accompagnant mes paroles de grands signes des bras, comme si je parlais à quelqu'un d'éloigné. La personne souriant, je lui rends un sourire exagéré, comme si je venais de m'injecter une tonne de botox. Ce que je ne fais pas, car je ne vieillis pas. Seuls les mortels vieillissent.
J'invite la nouvelle arrivante à s'asseoir, mais le gag que je viens d'utiliser ne marche pas de nouveau, tant pis.
Puisque depuis tout à l'heure, les gens restent plutôt réservés, ne faisant que souhaiter bonsoir depuis tout à l'heure, je prends l'initiative courageuse de lancer la discussion :
-Dites-moi, est-ce que vous pensez que Mother of tears est acceptable comme faisant partie de la trilogie des mères d'Argento ?

A suivre

ab 69

J'étais encore affreusement en retard, certainement que la soirée avait débutée et je n'avais rien acheté du tout. Pas un seul maillot de bain ni de serviette. J'avais juste ce masque affreux de Ron Jeremy acheté à 30€ chez prix bas. M'étais fait encore arnaqué. Je sens enfin le sable m'atteindre et une foule de gens en masse font la fête, certain discutent simplement, d'autres s'amusent à faire des blagues farfelues comme le coup de la chaise qu'on rabat avant que la personne s'assoie. Ce genre d'humour m'as toujours emoustillé l'organe. Je me fond enfin parmi les invités, certain remarque mon string fluot qui pend comme les mamelles de dieu sur mon corps d'athlète.

Il me faut du ponch, c'est bien gentil de faire semblant de danser avec les autres et de se sentir apprecié mais si je ne suis pas assez ivre, je sens que je ne survivrais pas à cette fête. Il faut me rapprocher du bar sans me faire remarquer, je renifle des esprits mal famés. Voila la boisson dégouline dans ma gorge tel une orgie greco-romaine. L'esquise sensation est jouissive, c'est beau et raffiné.

Une heure à passé, il parait que quelqu'un va mourir ce soir, je pue de la gueule à faire fuir mes concitoyens qui essayent tant bien que mal de faire leur partie de pétanque marseillaise au calme mais moi je sais, je connais la verité, quelqu'un s'est introduit ce soir dans le but d'abattre le capitaine de bord. Pour l'instant je parirai sur le colonel moutarde avec le chandelier mais rien n'est sûr... L'un de mes testicule sort abondement de mon sous vetement, ce string est moisie et ça se sent. Il faut que je me change vite, ne parler à personne, eviter tout contact visuel, physique, sexuel, olfactif avant que je ne me sois changé. Malheureusement dans la précipitation je heurte au passage une personne:

Vous êtes tous que des pourritures !!

ab 56

Je m'approche du nouvel arrivant. Tandis que ce fou furieux, tel une bête issu du portail interstellaire H22 libérée de ses chaînes, se battait contre des moulins, je me faufile à sa place maintenant inoccupée momentanément et je casse au dessus de son verre une fiole d'eau bénite. Si c'est un démon, il devrait se mettre à vomir, gémir et péter après avoir bu ça. Si ce n'est pas un démon, il ne devrait rien lui arriver, à moins qu'il n'avale un éventuel bout de verre qui serait tombé dans le verre.
Après ça, vu que l'ambiance est toujours aussi plate malgré ma tentative d'animer la soirée par une discussion fort intéressante, je décide de mettre un autre plan à exécution. J'ouvre mon manteau, à l'intérieur se trouvent attachées toutes mes munitions : brandy, vodka, bières, tout ce qu'il faut pour délier les langues et plus si affinités. Comme si je me saisissais de machettes façon Danny Trejo, j'aggripe deux bières que je dépucelle d'un coup de pouce sur le goulot, et je les bois d'une traite. Il me semble déjà entendre les gens m'acclamer en criant "cul sec, cul sec !", ou alors c'est mon imagination. En tout cas, me voilà maintenant d'humeur à danser. Je sors de ma poche ma nouvelle chaîne hi-fi Sony CMT-DH3 avec lecteur de CD, de cassettes et canif intégrés, achetée spécialement pour la soirée, j'y mets de la bonne vieille musique et me voilà déjà en train d'éxecuter des pas de danses endiablées que je dois à Crispin Glover (vous savez, cette célèbre danse remarquable qu'il fait en boite de nuit et durant les fêtes à camp Crystal lake) sur le son de Running with the devil de Van Halen.

-Running with the devil !

Kj8a So Exciiiited :DD

Wouaaaaaa l'ambiance était à péter, ça sentait rudement bon ! Surement que quelqu'un avait apporter des saucisses et un barbecue. Je me précipitais donc sur les merguez et ma salive coulait déjà d'envie. Je remplissais ma bouche avec un bonheur non dissimulé. Soudain, j'entendais derrière quelques ragots mal famés, une personne parlait de sa famille et employait des mots forts grossiers pour la qualifier. Moi, choquée par ce blaspfemme, je me retournais vivement et criait à ce felon ou felonne: " MAMAN ! Tu n'en a pas d'autre ! Car c'est TA MAMAN !!! Traite la bien, traite bien ta mère ! MAMAN !!! Je l'aime toujours ! ". Je fis mouche et ça marchait ! Les autres invités me fixait avec honneur et respect. Et ma victime n'était plus que du yaourt périmé abandonné sur la plage pour les autres convives. J'exultais en silence et une bosse commençais à pointer au niveau de mon pays bas. " Que...QUE !!! Quescequisepasse !! C'est pas drôle. " Je courais à present, les cheveux dans les yeux, les relants de l'ecume dans ma bouche, la sueur dans mon nez, le sang dans mon vagin. Il fallait que je trouve les WC au plus vite, exrtirper cette chose visqueuse et humide dans un receptacle adapté aux conditions de mes parties intimes.

Enfin, apres un marathon de 2h et demie, je tombais sur des toilettes pures... Mais evidement il était trop tard, certainement que le liquide avait dû couler le long de mes jambes et se deposer peu à peu sur le sable chaud. Quoi qu'il en soit c'était sec, de la croute maronasse s'était former le long de mes molets, il fallait que je trouve un outil approprié pour me sauver de cette situation farfelu mais si particuliere ! " Mais...mais...ou suis-je ? Je ne vois même plus la fête... " Quelle galere, je marchais tel une prostituée brezilienne unijambiste pour ne pas sentir cette matière désagreable sous mes vêtements. Mais apparement, cela attirait les mouettes, un nuage en forme de V tournoyait au dessus de ma petite personne. Il fallait encore se débarrasser de cette epreuve mais ces volatiles de malheur ne me lachaient pas la touf ! C'était genant et je pleurais de peur à present. Je sentis soudain un bec sur mon cou, puis deux, puis trois ! Plusieurs meches de mes cheveux si soyeux pourtant dégringolaient de ma magnifique frimousse. Je me retrouvait presque chauve à present, quelle horreur ! Ces saloperies me faisaient saigner et je hurlais, criais, suffoquais et personne ne venait m'aider, il n'y avait personne à 1 km à la ronde. Je m'ecroulais de fatigue, les larmes et le sang coulaient à flot. Je n'en pouvais plus, presque inconsciente, je rampais mais la fin était proche. Ces oiseaux allait me dévorer vivante, ça faisait mal ! Et dans un dernier souffle où je suppliais ces saloperies de me laisser en vie, une des mouettes me creva l'oeil, et se mit à dechiqueter mes nerfs optique. D'autres, leurs griffes plantées sur mes jambes m'arrachaient la peau des cuisses...

Un cadavre gisait sur la plage, décomposé, lapider... Personne ne saurait qui était décédé car tout simplement personne ne pourrait dechiffrer l'identité de la pauvre victime.